Organisation pour le Développement de Bababé
jeudi 18 juillet 2013
FORMATION DES AGENTS DE SANTE COMMUNAUTAIRE (Techniques d'Imprégnation de Moustiquaires)
Séance de Formation Pratique d'imprégnation de Moustiquaires (Formatrice SALL Farmata Amadou dite Aissata Sall)
Vue partielle de la salle de formation
Partenariat avec le Bababé Child Nutrition Project (BCNP) - World Vision Mauritanie
lundi 24 juin 2013
WEENDU LOOTI A SEC
La ville de Bababé vit dans la tourmente, et
ce, depuis le changement de gestionnaire de la structure AEP plus connu sous le
nom de Forage.
Avec Ndongo Adama, malgré les critiques
acerbes fondées ou non, la gestion de l’eau n’a presque jamais atteint ce
niveau d’incompétence que les populations de Bababé ont pu vivre avec l’arrivée
du tout nouveau patron parachuté par l’ONSER (Office National de Sabotage des Equipements Ruraux).
En effet, depuis deux mois, la distribution
de l’eau potable dans les foyers est perturbée. Comme disait l’autre « Robinaaji ɗi ina caaha podɗe ». L’ancien réseau larmoie et le nouveau est
endormi. Pour trouver quelques gouttes du liquide précieux, il faut les
« coincer » à Downtown (Lees wuro).
La seule explication fournie serait que la
connexion électrique fait défaut et alors ?
Faites marcher le groupe comme d’habitude ou
installer des panneaux solaires pour
palier à cette défaillance.
Et le summum de cette incompétence survient
lors de la Ziarra annuelle, pas une
goutte d’eau et il faut se rendre à Dioudé ou Foondé.
Il n’y a pas seulement que l’eau, MAURITEL fait des siennes, SOMELEC se déleste et on
aura tout vu dans la cité de Thierno Ndiaye.
Mais dans tout cela où sont nos hommes
politiques qui prétendent se battre au sommet de l’Etat pour la défense des
intérêts et le bien- être des
populations. Leur bien-être plutôt oui !
Aucun d’eux, ne se soucie de cette situation.
Et croyez-moi, le ridicule ne tue pas, dans quelques mois, à bord de V8
rutilant et autres 4x4, ils reviendront encore pour solliciter nos voix aux
fins de préserver leurs acquis, et, après nous serons comme Grosjean par
devant.
En résumé, nous avons la malchance d’hériter
de tout ce que l’Etat peut compter de fonctionnaires incompétents (Préfet,
Gendarmerie, Garde Nationale, Police, Eaux et Forêts, Iden, etc…) et même nos
partenaires au Développement. Rien que de la lie.
Je ne conseillerais pas les populations de
sortir dans la rue pour le moment, eu égard au conseil de Mister No « … La
plupart des agents ou fonctionnaires affectés à Bababé, pour se faire muter
dans d’autres lieux font exprès de créer une situation conflictuelle…),
Il
faut que les jeunes reprennent la situation en main, soit :
Saisir l’Autorité de Régulation laquelle est
chargée de résoudre la situation des AEP
S’investir
dans des Actions Citoyennes de Vacances
en « draguant » les quelques puits qui nous restent et qui peuvent
l’être
jeudi 24 mars 2011
DEUX VEHICULES , DEUX DESTINS
Notre Centre de Santé, classé type A suivant certaines normes que voici a été rénové, badigeonné et clôturé. C'est excellent et nous en sommes très reconnaissants à ceux qui de près ou de loin ont contribué à sa rénovation.
Mais, nous sommes toujours confronté à la vétusté de son parc automobile. Je ne puis comprendre que le Département de Bababé ne puisse avoir une ambulance en bon état de marche. L'on me dira quelque part que le Centre dépend du Ministère Sans Thé. Mais les malades sont les nôtres et Dieu sait les affres auxquelles les malades et parents de malades sont confrontées tous les jours. Le décès du Hakem de Bababé devrait nous édifier puisqu'il a fallu "emprunter" l'ambulance de Boghé pour acheminer sa dépouille sur Nktt.
Mais, nous sommes toujours confronté à la vétusté de son parc automobile. Je ne puis comprendre que le Département de Bababé ne puisse avoir une ambulance en bon état de marche. L'on me dira quelque part que le Centre dépend du Ministère Sans Thé. Mais les malades sont les nôtres et Dieu sait les affres auxquelles les malades et parents de malades sont confrontées tous les jours. Le décès du Hakem de Bababé devrait nous édifier puisqu'il a fallu "emprunter" l'ambulance de Boghé pour acheminer sa dépouille sur Nktt.
La panne détectée sur ce véhicule est gérable seulement un problème de TÊTE HYDRAULIQUE et de POMPE D'INJECTION. D'aucuns te diront c'est une vieille voiture, qui mérite d'être expédiée à la casse et pourtant ceux-là même conduisent de vieilles caisses d'arrivage beaucoup plus âgée que notre ambulance. Nous avons interpellé le burgmeister qui soutient avoir contacté l'ancien Ministre sans thé et à la clé une promesse formelle de doter Bababé d'un véhicule flambant neuf en priorité mais il s'en est allé "sauvegarder l'environnement" et le nouveau MS dit-il a promis de maintenir les directives de son prédecesseur. C'est la même jonglerie qui continue et avec ce " gornement caméléon" nous ne sommes pas encore sortis de l'auberge.
Nous lançons un appel solennel à tous les natifs du département à une mobilisation générale pour trouver les fonds nécessaires à la remise en état de la grande dame.
Le manque de personnel pour le laboratoire et la radiologie (on nous disait qu'il n'y avait pas d'électricité, maintenant il y en a).
lundi 14 mars 2011
RIFIFI DANS LES RANGS DE L'UPR
La semaine dernière, nous (populations du Département de Bababé) avons assisté à un ballet incessant de 4 x 4 dans notre bled. Des réunions formelles ou informelles. Et le point focal n'était que les sénatoriales.
Selon nos informateurs, les débats étaient houleux sur la désignation du candidat de l'Union pour le Recul. Certains discours tenus lors de la plénière n'ont pas plu à la mission de supervision laquelle qualifie les intervenants de rebelles ou plutôt de racistes et pour le seul délit d'avoir attirer leur attention sur le choix du sénateur depuis que le "Majlis des hands clappers" a vu le jour.
"En tout temps, c'est toujours une même famille dans une seule ethnie que le choix du sénateur est porté". Une attitude jugée inadmissible et mal à propos. Selon nos analystes politiques locaux, c'eût été une position qui coûtera très chère à Mr B.A.R et à tous ceux qui l'ont soutenus. Alors toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, pour accéder à certaines responsabilités, il faut être un béni oui-oui, sinon on est mis au placard. Zyeutons grand et clair pour attendre la suite de cette histoire
jeudi 24 février 2011
COUP DE FORCE DANS LA CITE (SUITE)
La polémique autour du squat continue de faire "baver" beaucoup de personnes. Deux camps s'érigent et chacun y va à sa convenance, sa vision de la chose. Mais dans tout celà, il serait nécessaire d'attirer l'attention de tous. Nous n'avons nullement l'intention d'attenter à l'intégrité physique de qui que ce soit. Seulement l'intention d'attirer l'attention de tous sur les agissements peu orthodoxes qui se trament au sein de la cité. De nombreuses réactions ont été postées sur fb. :
Tout comme vous, je condamne cette "gazra " et je l'ai fait savoir à Boukhary et au hakem (paix à son âme). Il faut savoir que la zone concernée relève du village traditionnel qui est régie par la coutume et les usages, c'est pourquoi j'ai demandé au chef du village de s'en saisir pour un règlement de cette affaire de manière convenable et sans trop y mêler l’administration.
Il est bien évident que cette condamnation vient à propos, mais ce que je ne puis comprendre c'est la division de la cité en Zone traditionnelle et Zone Moderne avec je crois une gestion bi-céphale d'où une partie est gérée par les us et coutumes et du chef de village et l'autre partie alors. Elle est gérée par qui ? Soyons sérieux.
Depuis quelque temps je m'évertue à mettre sur facebook et Diakka toutes les activités , mais certains ne relèvent que les insuffisances réelles ou supposées sans jamais apprécier les autres actions !
Olé, soyez rassurés Mr que toutes les bonnes actions ont été jaugées à l'aune de leurs pertinences. Celà voudrait dire qu'incontestablement, qu'on le veuille ou non vous avez fait de nombreuses actions bénéfiques soit à titre individuel ou collectif. Mais celà ne devrait pas aussi cacher les larcins de votre entourage immédiat.
dimanche 20 février 2011
COUP DE FORCE DANS LA CITE
On ne le dira jamais assez qu'il y a dans le cours de l'histoire d'un peuple, ceux qui finissent leur vie en ramant à contre courant. L'histoire qui nous intéresse et qui fait couler beaucoup de salive se passe à Bababé, nous avons vécu des situations sociétales conflictuelles malgré tout des actions impensables qui se font et se défont. Des prises de position contre les délateurs, contre ceux qui ont bradé le patrimoine communautaire au profit d'autres pour des raisons obscures. Mais venons-en au fait :
- Depuis le 12 Février 2011, nous assistons impuissants devant le squat du domaine public, et ironie du sort, celui-là même que tout le monde s'accordait être un grand monsieur toujours prêt à s'engager dans toute activité communautaire. Admirés par tous pour sa probité, son courage et son engagement est celui-là même qui défraie la chronique en squattant une rue pour y construire un magasin. Mais, hélas, il n'est pas seul engagé dans cette aventure rocambolesque, ni le Hakem (Dieu ait son âme), ni le bourgmestre, ni les conseillers ne se sont opposés contre de tels agissements. Général (devenu soldat de première classe) BALL, a purement et simplement squatté une rue pour y construire un magasin et d'après les informations que nous avons reçues, il n'est pas à son premier coup d'essai. Tournez votre regard du côté du puits de Hirto. Le bourgmestre (premier magistrat) informé de cet acte répréhensible, n'a d'excuses que nous dire " je lui ai demandé mais il s'entête". N'importe quoi. Le Directeur de l'Ecole 1 n'a pipé mot. C'est en fait, toute une organisation mafieuse qui est derrière cette histoire. Quand tu aimes bien ton ami, ose lui dire la vérité sinon se serait de l'hypocrisie. Pourquoi n'a-t-il pas squatté la place de la tribune ? Bof, j'aurai ouï-dire que le Général prévient que même si les cimetières offraient une opportunité, il y construirait des magasins. Cette course effrénée vers l’enrichissement illicite va porter un coup dur sur ce que nous dévoilons aux yeux des gens. Chapelets, barbes touffues et autres artifices alors ce que l'on trame en dessous pue à mille lieues à la ronde.
YO ALLAHU SUUR EN E DI MUSIIBAJI
- Depuis le 12 Février 2011, nous assistons impuissants devant le squat du domaine public, et ironie du sort, celui-là même que tout le monde s'accordait être un grand monsieur toujours prêt à s'engager dans toute activité communautaire. Admirés par tous pour sa probité, son courage et son engagement est celui-là même qui défraie la chronique en squattant une rue pour y construire un magasin. Mais, hélas, il n'est pas seul engagé dans cette aventure rocambolesque, ni le Hakem (Dieu ait son âme), ni le bourgmestre, ni les conseillers ne se sont opposés contre de tels agissements. Général (devenu soldat de première classe) BALL, a purement et simplement squatté une rue pour y construire un magasin et d'après les informations que nous avons reçues, il n'est pas à son premier coup d'essai. Tournez votre regard du côté du puits de Hirto. Le bourgmestre (premier magistrat) informé de cet acte répréhensible, n'a d'excuses que nous dire " je lui ai demandé mais il s'entête". N'importe quoi. Le Directeur de l'Ecole 1 n'a pipé mot. C'est en fait, toute une organisation mafieuse qui est derrière cette histoire. Quand tu aimes bien ton ami, ose lui dire la vérité sinon se serait de l'hypocrisie. Pourquoi n'a-t-il pas squatté la place de la tribune ? Bof, j'aurai ouï-dire que le Général prévient que même si les cimetières offraient une opportunité, il y construirait des magasins. Cette course effrénée vers l’enrichissement illicite va porter un coup dur sur ce que nous dévoilons aux yeux des gens. Chapelets, barbes touffues et autres artifices alors ce que l'on trame en dessous pue à mille lieues à la ronde.
YO ALLAHU SUUR EN E DI MUSIIBAJI
dimanche 23 janvier 2011
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